La danse de Gengis CohnJe n’ai qu’à continuer à fermer les yeux pour la voir dans toute sa beauté. Mon maître bien-aimé, Rabbi Zur, de Bialgstok, me disait toujours : « Moshé, il ne suffit même pas d’être aveugle pour la voir comme il faut. Il faut encore savoir l’imaginer. C’est un rare talent, Moshé, donné seulement aux meilleurs. Les autres ne savent que fermer les yeux. »