Katarina MazettiBref : il n’y a rien de plus stressant qu’être parents d’enfants en bas âge. Si, peut-être travailler dans la tour de contrôle d’un aéroport international. Avec du brouillard et l’espace aérien rempli de jumbo-jets. Mais même les aiguilleurs du ciel rentrent chez eux prendre du repos pendant quelques heures.
On ne sait pas cela quand on décide d’avoir des enfants, et tant mieux. Parce qu’on ne sait pas non plus qu’on est tous capables d’un tel amour inouï, on n’y est pas préparé. Subitement grâce à eux, la vie prend toutes ses dimensions.
Le caveau de famille
(page 164)
Gaïa éditions