D’abord, qui accepte volontiers la critique ? Vous ? Votre rédacteur en chef ? Tony Blair ? La Pape ? Tout le monde réagit assez vertement face à une critique injustifiée. Je ne suis en ce sens qu’un homme ordinaire avec du bon sens. Si la critique est associée à une proposition constructive d’amélioration, je suis alors sincèrement reconnaissant. Mais si la critique se veut une arme, si elle est subjective, personnelle, blessante ou même préjudiciable à la réputation, alors je réagis comme un bête sauvage.