Walter IsaacsonIl semblait se contreficher de ses racines syriennes. Quand le Moyen-Orient venait dans la conversation il restait en retrait ou proférait des jugements à l’emporte-pièce même lorsque le peuple syrien se révolta lors du Printemps arabe de 2011. « Personne ne sait ce qu’on doit faire, répondit-il quand on lui demandait si l’administration Obama devait intervenir. Si on bouge on est dans la merde, et si on ne bouge pas, on l’est aussi ! »
Que faire alors ? J’aime bien cette ambiguïté 😉